« Un second pôle financier s'ajoutant à celui d'outre-Atlantique », écrit Molènes, mais qui ne sait avec quelle chronologie et surtout selon quelles modalités de gouvernance. L'auteur cite Mendes : « Car on ne voit pas que les gouvernements soient prêts à céder à un super-gouvernement cette compétence souveraine qui consiste à battre monnaie et, par contre-coup, à régenter l'ensemble de la vie économique des États. »