Etienne Borne s'emploie pourtant à décrypter cette soudaine colère : « Le mouvement étudiant voulait être un tout aux éléments indissociables, un seul élément vital n'appelant en définitive que deux sortes de réactions globales, l'absolu du "non" ou l'intégralité du "oui", et de fait la plupart des adultes qui ont parlé publiquement du mouvement étudiant sont entrés dans ce jeu affligeant du tout ou rien, où finissent par se perdre jugement et sens critique. »