Jacques Fauvet en mesure ses risques, mais aussi de ses chances : « Pour redonner son dynamisme à la démocratie française, il conviendrait d'abord d'ouvrir et d'assouplir les structures existantes, d'extraire de la mentalité française cette idée funeste que l'unité exclut la diversité alors que l'expérience des partis et des syndicats étrangers prouve que la cohésion de l'ensemble n'a pas à souffrir des divergences et des discussions intérieures. »