De Gandillac insiste sur la double certitude de Teilhard, son « concordisme » : la certitude du savant et la certitude du croyant. Celui qui n'admet aucune faillite de la science, mais aussi celui qui croit à la transfiguration, « progression pédagogique » qui se situe nécessairement « au bout de cette longue histoire de la nature et de l'homme ».