Hiver et été, des saisons « franches », ont sa préférence : « Cette certitude, sans brumes ni brouillards, inspire moins les artistes que ces saisons de rêve ou de songe que sont le printemps et l'automne. Les odes à l'aurore et les champs du crépuscule occupent plus de place dans le thésaurus de la poésie universelle que les hymnes à la gloire de "midi roi des étés". »