« On le trouve partout », écrit Cécile Delanghe qui constate que le prestige du magazine diminue en parallèle. C'est le livre qui redevient roi et l'auteur ne s'en plaint pas. « Pour être cultivé n'est-il plus nécessaire d'être riche ? », questionne-t-elle aussi quand certains pensent qu'au contraire, le format de poche dévalorise la culture.