Le grand historien des religions souhaite ainsi éclairer les débuts du Sillon : « Dans le climat d'effervescence qui a gagné une partie de la jeunesse intellectuelle, s'affirme à la fois la volonté de se tourner vers le peuple, d'apporter à la démocratie le concours du sentiment religieux, de réconcilier la religion et la science dont la génération précédente avait fait le substitut de la religion. »