Il le voit comme « le nouvel enjeu majeur de cette fin de siècle » et s'interroge sur sa pérennité là où il a conquis le pouvoir : « Cette volonté d'irréversibilité du processus voulue par l'islamisme sera-t-elle plus forte que celle qui était recherchée par le communisme ? Plus efficace qu'un grand orateur habile, ce processus politique implique la mise en place d'un système très rigide visant à préserver sa propre pérennité. »