L'écrivain François Nourissier y fait une intervention remarquée sur les rapports entre les artistes et la politique : « Herriot parlait si bien de la forêt normande et de madame Récamier qu'il touchait par-là même le cœur un peu mystérieux des Français, qui aiment voir les écrivains s'occuper de la chose publique. Il y a là, peut-être, une certaine erreur de distribution. En tout cas, elle entraîne une inflation de prestige pour l'écrivain, dont il souffre, dont il bénéficie, et qui fait de lui un personnage en flirt perpétuel avec l'opinion et avec le pouvoir. »