« Mort d'un poète », intitule-t-il son éditorial : « Vie, pensée et art en proie à un même frémissement : Jean Cassou croyait à un "Dieu de justice, qui règne non aux cieux - mais dans le cœur de l'homme, au cœur de sa colère", et de cette impatience de justice, il faisait flamboyante poésie. [...] Il y a du Verlaine dans les "33 Sonnets" : "Bois cette tasse de ténèbres et puis dors." »