En parlant de l'Onu comme d'un « machin », le général de Gaulle a déplu et notamment à Maurice-René Simonnet qui le dit dans son éditorial. « Pour nous, notre choix est fait : dans tous les domaines nous avons répudié "le nationalisme de papa" et nous travaillons à ce que chaque état, au lieu de se draper dans un splendide isolement, accepte de participer à des sociétés qui le dépasse et consente à abandonner, sous réserve de réciprocité, une part de sa souveraineté.