Les convoitises économiques et politiques sont devenues aussi nombreuses que les mises en garde environnementales.
De nombreux acteurs extérieurs à la région (Chine, Corée du Sud, Singapour, Union européenne) mais aussi locaux (Canada, Russie, Islande) montrent qu’il n’existe pas un mais des Arctique, souvent opposés par les enjeux et les intérêts.
Face à ces rivalités économiques et politiques, quel rôle peut jouer la France ? Les innovations technologiques permettront-elles à l’Arctique de devenir un laboratoire de la transition énergétique et écologique ?