Beaucoup de conflits sont la conséquence d’affrontements intérieurs provoqués par des antagonismes religieux.
Le choc de la Covid va-t-il durablement changer les individus et changer le monde ? La manière de vivre, de travailler, de consommer, de prendre soin de soi, de circuler, d’habiter sera-t-elle différente de ce qui était connu jusqu’à présent ?
C’était une vraie gageure. Solliciter en un temps record, en plein confinement, les presque sept cents dirigeants politiques, diplomates, universitaires, scientifiques, chefs d’entreprise, responsables associatifs, qui avaient écrit pour France Forum au cours des six dernières années et leur demander de s’exprimer sur le monde de l’après-Covid-19.
La Turquie, immense civilisation dont les héros se nomment attila, Tamerlan, Soliman le Magnifique ou Atatürk, est une source inépuisable d’interrogations.
Il y a, en ce moment, dans les primaires du camp démocrate, un je-ne-sais-quoi d’inhabituel.
Si la question des déplacés climatiques s’inscrit dans une évidente actualité scientifique et sociétale, elle renvoie aussi à des traditions et croyances millénaristes enfouies au plus profond de chacun.
Plus encore en ces périodes de grèves SNCF, et surtout s’il s’agit de parler de mobilité et de transports, la tentation est grande de se concentrer sur les trains qui n’arrivent pas à l’heure.
Introduire un ensemble d’articles couvrant d’une manière aussi complète la diversité indienne est une tâche délicate.
Il y a soixante ans, en février 1957, le premier numéro de France Forum avait pour titre « Le destin du monde en suspens : de l’Onu à l’Eurafrique ».
L'évocation de l’Afrique autorise très souvent les mêmes commentaires : terre des laissés-pour-compte, tensions géopolitiques empêchant tout développement, élites corrompues et dirigeants politiques peu fréquentables, etc. Inutile de s’échiner à expliquer que ces poncifs sont, à bien des égards, éculés et que les parties francophone, anglophone, lusophone et arabophone du continent sont, en réalité, radicalement différentes.